FAUX BOIS : CONCEPTION et RÉALISATION


Le faux bois, u
ne des spécialités de l’atelier de peinture décorative, représentant toutes les essences de façon très réaliste, convient aux décors intérieurs classiques, comme contemporains : acajou, chêne, bois de rose, ébène de macassar, érable, noyer, citronnier, loupe d’orme…

Nos interventions s’adaptent à vos besoins :
Conception et réalisation de compositions de faux bois en panneautages ou marqueterie
avec trompe l’œil de fausses moulures, dorures et ornementations.
I
mitation de bois sur murs, boiseries, meubles ou cheminées.
Reprises partielles et retouches de décors anciens.

Ci-dessous, quelques photos de nos réalisations

Le faux bois dans le métier de peintre décorateur

Déjà connu de l’Égypte ancienne, le métier de peintre décorateur permet, par des techniques picturales éprouvées, de créer l’illusion du réel et de ravir le spectateur par des jeux de trompe l’œil, grâce aux imitations de matières telles que le faux bois, mais aussi le faux marbre, les fausses moulures...etc, sans oublier, le dessin et la perspective.

Le décor orchestre le lieu.

~Aux espaces publics (restaurants/magasins/hôtels), le décor donne une identité propre.
~Aux espaces privés (appartements/maisons/hôtels particuliers), plus qu’une simple atmosphère, le décor se doit d’être une transposition d’une conception d’art de vivre et recevoir, d’un désir esthétique donné.
~Mais il est aussi des décors peints hors normes qui, tels des tableaux, sont créateurs d’univers, d’imaginaires (ex : papier peints panoramiques).

Satisfaire le désir des commanditaires.

Pour y parvenir, le peintre en décors met ses compétences esthétiques et techniques au service du désir d’autrui; la réussite du projet dépend de sa capacité d’écoute et l’adéquation de sa réponse à la demande, dans une juste appréhension de l’espace, tout en tenant compte des contraintes imparties. De même que pour écrire, si l’aisance technique est requise, seule la culture et la connaissance des arts nourrit la conception d’un projet.

Le métier de peintre décorateur: un  métier d’expérience

Chercher à maîtriser les techniques picturales traditionnelles et modernes, à l’huile et à l’eau (faux bois, faux marbre, imitations de matières, faux ciel, ornementations, trompe l’œil),  toujours s’entraîner et s’améliorer, c’est évidement la base et la fierté du peintre en décors, comme elle l’est pour tout artiste.

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En forme de clin d’oeil

Le cubisme analytique (1909-1912) est un style de peinture que Picasso à développé avec l’aide de Georges Braque. Les deux artistes ont déconstruit des objets et les ont «analysé» en termes de formes. Les peintures de Picasso et de Braque de ce moment-là ont de nombreuses similitudes.Le cubisme synthétique (1912-1919) a été la suite du développement du genre.

Plutôt qu’une analyse des perspectives, le cubisme synthétique se veut un bilan des différentes perspectives d’un même objet. Entre 1912 et 1914, Georges Braque et Pablo Picasso explorent la peinture dans cette phase ultime du cubisme.Retour à l’utilisation de couleurs vives, variation des matériaux et nouvelles techniques sont les caractéristiques esthétiques qui marquent le cubisme synthétique.

 Picasso explore le potentiel du faux bois, des toiles cirées, du tissu et du collage. Georges Braque débute ses œuvres en papier collé, technique qui consiste à coller des morceaux de papier de diverses textures et provenances sur une toile en cours, afin de créer un trompe-l’œil pour le spectateur.

Entre les cubismes analytique et synthétique, Picasso et Braque emploient également des lettres dans leurs collages, dans l’optique de toujours conserver dans leur art un lien au réel. Dans Nature morte à la chaise cannée (1912), le premier collage à avoir été considéré comme une œuvre d’art, Picasso appose les lettres J O U, laissant le spectateur à se demander si elle signifient journal ou bien jeu/joue. Nature morte à la chaise cannée, devenue l’une des plus illustres peintures de Picasso, a ouvert la voie à plusieurs techniques dadaïstes et surréalistes. Certains experts voient également dans cette nature morte un précurseur des Ready-made de Marcel Duchamp, car jamais auparavant un artiste n’a-t-il inclus des éléments externes, en l’occurrence déjà prêts, à une œuvre d’art.

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